MOI - ICH

Bienvenue dans mon nouveau chez moi !

Il m'aura fallu le temps de me décider, le temps de retrouver l'envie (un peu aussi...) d'écrire, de raconter, le temps de prendre le temps...

Voilà donc ce blog que j'aurais du commencer il y a presque deux ans alors que je quittais la France pour m'installer en Allemagne.

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Ce n'est donc pas...

... un blog politique, mon avis, ce que je pense, ce que je crois, mon opinion.

Mais c'est...

...ce que je vois, ce qu'on me demande, ce qui me pose problème, ce dont je me souviens.

Donc,

les aimables visiteurs peuvent attaquer les faits mais pas la personne, les idées mais pas l'homme, les fautes d'orthographes mais pas mon clavier....

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  • Il était une fois.

     

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    ‎"Il était une fois un jeune guerrier qui prit un oeuf dans le nid d'un aigle et le mit à couver dans la basse-cour. Quand l'oeuf vint à éclore, le petit aigle sortit et grandit parmi les poussins, picorant sa nourriture comme ses compagnons. Un jour, regardant en l'air, il vit un aigle qui planait au-dessus de lui. Il sentait ses ailes frémir et dit à un des poulets : "comme j'aimerais en faire autant". "Ne sois pas idiot, répondit le poulet, seul un aigle peut voler aussi haut". Honteux de son désir, le petit aigle retourna gratter la poussière et il ne remit plus jamais en cause la place qu'il croyait avoir reçue sur cette terre".

    "Il y a quelquechose de pire dans la vie que de n'avoir pas réussi, c'est de n'avoir pas essayé" ( F. Roosevelt)

     

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  • Exister autrement.

     

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    Après les événements que nous vivons... Une réflexion à faire... Des questions à se poser????
    L'histoire ci-dessous est particulière et individuelle... Elle ne peut servir de modèle à l'ensemble...( belle utopie!)
    On pourrait tout de même retenir que l'abondance de tout ne fait pas le bonheur et qu'il est bon de donner ou se débarrasser de ce qui ne nous sert plus...sans pour cela polluer notre environnement par un excès de consommation inutile !
    Se prendre en charge sans être trop assistés!!!

    En 1989, Heidemarie Schwermer, une professeur fin quarantaine, émergeant d'un divorce difficile, décide de déménager avec ses deux enfants en ville à Dortmund, dans la région du Rhin en Allemagne.
    Elle nota immédiatement que la population des sans-abris était en croissance constante . Sa réaction immédiate fut d'être choquée : "Ce n'est pas normal, il faut faire quelque chose"; elle a donc lancé ce qu'on appelle en Allemagne un Tauschring, un espace où les gens peuvent échanger leurs compétences ou leurs possessions, une zone sans argent, où une coupe de cheveux peut être échangée contre des réparations mécaniques, où un grille pain sera échangé contre un manteau. Elle appela cet espace Gib und Nimm (Donner et prendre).
    Cela avait toujours été la croyance de Heidemarie que les sans abris n'avaient pas juste besoin d'argent pour re-entrer dans la société, mais qu'en leur redonnant une estime de soi malgré les dettes, le manque de travail ils retrouveraient leur place dans le monde."Même quand tu n'as rien, tu vaux beaucoup" dit elle souvent.
    Mais les sans abris de Dortmund ne participèrent pas beaucoup au "Donner et prendre", peu utilisèrent le Tauschring, et certains lui jetèrent même à la face qu'une femme de la classe moyenne avec une éducation comme la sienne ne pouvait pas comprendre les circonstances de leur déchéance sociale. Au contraire, ce furent les chômeurs et les retraités qui commencèrent littéralement à inonder son Tauschring, avec des tonnes de matériel inutilisés depuis des années dans leur maison, ou des compétences qu'ils n'exerçaient plus. Des coiffeurs retraités qui échangent une coupe de cheveux contre une réparation électrique, des profs retraités qui donnent des leçons privés en échange de sortie pour leur chien, le point étant que jamais une seule pièce de monnaie ne fut échangée.
    Le succès du Tauschring fit poser à Heidemarie de nouvelles questions sur elle-même et sa manière de vivre.
    "J'ai commencé à réaliser que j'avais beaucoup trop de choses inutiles. J'ai alors décidé que je n'achèterais quelque chose que si je donnais quelque chose , c'est comme ça que j'ai commencé. Puis j'ai pensé à ce dont j'avais réellement besoin et je me suis rendu compte que je pouvais fonctionner très bien en vêtements par exemple avec ce que j'accroche sur 10 porte manteaux , donc j'ai donné le reste. j'avais tellement de choses superflues, c'était fou !"
    Après quelques temps, c'est sa vaste collection de livres qu'elle remarqua dans sa maison , donc un jour elle marcha jusqu'à une bouquinerie usagée avec sa bibliothèque au complet.
    "J'ai pensé que donner mes livres était une bonne chose, j'adore les livres, mais il me fallait les sortir. Ils ne me manquent pas, ce qui me surprend toujours, je voulais revenir à l'essentiel".
    Ces prises de conscience provenaient en partie après ces séances de psychanalyse, qu'elle suivait suite à son divorce.
    "C'était une année difficile, se souvient elle. je pleurais à chaque session, mais en bout de compte, je voulais juste vivre plus simplement, et être plus heureuse .."
    Elle a donc commencé à suivre des cours pour devenir elle aussi psycho-thérapeute afin d'aider d'autres personnes. d'autres choses vinrent s'ajouter à ces changements. Elle commença à faire de la méditation, et bientôt réalisa à quel point elle était insatisfaite de son travail. "J'étais tout le temps malade, et n'avais pas encore fait la relation entre mes symptômes physiques et mon mécontentement au travail".
    Donc, en plus du Tauschring et de ses cours en psycho-thérapie, elle commença à expérimenter d'autres types de travail.
    "J'ai travaillé dans une cuisine au salaire minimum et les gens n'arrêtaient pas de me dire quel dommage d'avoir étudié à l'université pour faire ce genre de boulot ! Mais moi je répondais, pourquoi un professeur ou un thérapeute devrait avoir plus de valeur qu'une cuisinière ?"
    Plus elle vivait libérée des choses, et plus elle devenait heureuse. En 1995, toujours impliquée dans le Tauschring, elle commença à échanger de l'hébergement contre des travaux ménagers... Elle n'achetait plus rien...
    "Quand j'avais vraiment besoin de quelque chose, on dirait que cela me tombait dessus dans la vie."
    En 1996, elle décide d'aller encore plus loin, et prend la décision la plus radicale de sa vie : vivre sans argent. Elle a donné son appartement , renoncé à son travail de prof, et a commencé à vivre en nomade, bougeant de maison en maison, en échange de petits travaux. Elle s'était donné 12 mois comme période de tests, mais en bout de compte elle a tellement aimé ça qu'en 2011, à 67 ans, ce n'est pas fini.
    "La Vie est devenue de plus en plus belle, je ne pourrai jamais plus revenir en arrière, j'ai tout ce qu'il me faut, un sens de la Joie profond, et physiquement je me sens en pleine forme ".
    Elle a des économies d'urgence ( 250/200 euros) et donne tout l'argent qu'elle peut gagner .Elle collecte sa retraite pour se payer ses billets de trains et donne le surplus. Elle n'a aucune assurance médicale et a donc développé sa propre méthode d'auto-guérison.
    "Quand j'ai mal quelque part, je mets mes mains et je me dis que j'ai le pouvoir de me guérir moi même .. mourir ? je me suis déjà préparé à mourir plusieurs fois .. il est arrivé que je pensais que ça y est, je vais mourir, et hop, je me levais la journée d'après en pleine forme !"
    Son monde tient dans une valise à roulette et un petit sac à dos. Pas de photographies. "Je n'en ai plus besoin". Elle a eu quelques relations amoureuses :
    "Je peux tomber en amour, mais me demander de rester dans une maison avec quelqu'un, impossible". Elle a écrit deux livres racontant ses aventures et donné les royalties, a déjà été invité à la TV au milieu de millionnaires et gagnants de loto où tout le monde fut renversé par cette dame qui avait tout donné. " je n'aime pas passer à la télévision, cela me rend nerveuse, mais au moins je peux toucher beaucoup de monde."
    "Je me vois comme plantant des graines dit elle. Peut être que des gens vont me rencontrer et décider de consommer moins, ou d'autres vont méditer, le point étant qu'il est possible d'avoir un autre type de société . Je voudrais que les gens se demandent : mais de quoi j’ai réellement besoin, comment est ce que je veux réellement vivre ? chaque personne devrait se demander qui elle est , et où elle veut aller, ce qui va automatiquement créer une recherche en soi ... nous vivons comme nous vivons parce que nous suivons le système, nous achetons tout ce que nous voulons, mais en fait nous n'avons pas besoin de toutes ces choses, il est ridicule de penser que ce système est le seul possible."
    Le vrai bonheur ne dépend d'aucun être, d'aucun objet extérieur, il ne dépend que de nous...

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  • Les sens !

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    Les sens, essence de l'indécence ? ou
    L'indécence, essence des sens ?
    Gourmandise, quand tu nous tiens...

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  • C'est l'histoire d'un mec...

     

     

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    C'est l'histoire d'un mec qui affectionnait les voyages. En Afrique. Pas de voyages sans valise, n'est-ce pas ? Il avait eu pour mentor une sorte de chanoine (en apparence) qui d'ordinaire rasait les murs. Il apprit à en faire autant. Le chanoine mort, il prit tout naturellement la succession. Le temps passe... arrive la présidentielle de 2007. Il semble que l'homme aux valises (pleines) change decandidat (toujours de droite, hein ?)
    L'élu de 2007 lui pique sur le revers la décoration d'honneur. Il ne l'avait pas volée ! Puis il se sent délaissé par le nouveau pouvoir... Frustrations.
    C'est alors que sa conscience le tarabuste, il faut absolument qu'il la soulage ! Et il avoue publiquement ses turpitudes passées : le contenu des valoches !! (en dollars). C'est tellement simple, l'information...

     

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  • Oui, c'est bien la reprise...

     

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    Eh oui, c'est la reprise
    Mais pas la mienne, gniark, gniark, gniark ...
    Malheureusement pour elle, c'est mon amour qui devra reprendre le chemin du bureau dès demain matin. Quand à moi, je vais reprendre mon quotidien organisé autour d'une seule et même doctrine : "je fais que ce que je veux !". 
    Vous êtes jaloux ? Je vous comprends ... Si j'étais vous, je le serais.
    Au-delà de la moquerie sadique, il s'agit ici de mes semaines de "repos-égoïste-adviendra que pourra", et je compte bien profiter de ce temps qui m'est imparti et en faire une partie de plaisir à chaque instant et ce pendant encore des années...
    Concernant les différentes rentrées de mes amis, et de mon amour, je vous le promets avec toute la sincérité qui me caractérise, je vous souhaite vraiment beaucoup de courage pour vous relancer sur les rails de vos durs labeurs. 
    Allez, sans rancune ...

     

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  • Je suis fatigué !

     

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    Chers Amis, 
    Je ne déprime pas soyez sans crainte, je reviens de vacances. J'ai trouvé que ce texte développait exactement les réalités que nos gouvernants et autres ''assimilés'' nous font vivre. Quand à l'analyse que je fais de cette situation, comme mon ami Jean-Pierre, je préfère la garder pour moi mais soyez certains comme le dit la chanson : un jour viendra où les traîtres paieront ……. 
    Bonne journée à tous 


    Je suis fatigué ! J’ai 62 ans. J’ai travaillé, à l’école d’abord, pas trop mal ; puis comme officier dans cette armée française qui a été tant vilipendée par la gauche et méprisée par la droite jusqu’à ce jour de 1981 où Mr Mitterrand a été élu président de la république, jour globalement funeste à mon sens, mais qui a eu au moins l’avantage d’amener un peu de raison dans la tête de ses partisans et calmer leur antimilitarisme inné. Ne m’étant pas engagé pour faire fortune, je me suis contenté de la solde versée par la République et, si je n’ai pas toujours vécu confortablement, je n’ai globalement pas été matériellement malheureux. Les semaines de travail étaient longues sans « 35 heures ni RTT » ; sans même évoquer les nombreuses charges diverses de service, non compensées pendant très longtemps. C’était comme ça ; peu s’en plaignait vraiment. Je n’ai pas hérité de biens substantiels ; ma position professionnelle et sociale ne m’a pas été donnée non plus ; j’ai travaillé pour ça. Au soir de ma vie, je suis fatigué. 
    Je suis fatigué de m’entendre dire que je dois partager ce que j’ai avec des gens qui n’ont pas mon éthique de travail. Fatigué de constater qu’en permanence nos gouvernements, de quelque bord qu’ils soient, me prennent de l’argent pour donner à des gens trop paresseux pour travailler, ou même à des étrangers normalement sans aucun droit d’être ici, et qui gagnent plus ici en ne faisant rien que chez eux en travaillant. 
    Je suis fatigué d’entendre dire qu’il y a de plus en plus de familles surendettées dont je dois payer les dettes parce qu’elles n’ont pas eu le bon sens d’adapter leurs dépenses à leurs ressources, et que l’état, au siècle de l’informatique, n’a pas été capable d’imposer un contrôle a priori des emprunts sollicités, ce qu’un simple croisement des fichiers permettait de faire, depuis longtemps. Bien sûr je veux bien aider ceux que le sort a brutalement frappés : chômage, maladie grave… . Mais ce n’est pas le cas de la majorité des personnes concernées. Je suis fatigué de m’entendre rappeler combien la France va mal, par la faute bien sûr de la droite, par des socialistes (ou apparentés) millionnaires comme Mrs Fabius, Strauss-Kahn (avant la chute), Noah, Berger, Mmes Bouquet, Balasko etc…, et fatigué de recevoir des leçons des mêmes, qui appellent de leurs vœux une France ouverte à tous alors que tant d’entre eux résident à l’étranger pour ne pas payer leurs impôts en France. Dans 20 ans ou 30 ans, si on continue à les suivre comme on le fait déjà, nous aurons l’économie d’un pays sous développé, la liberté de la presse de la Chine, la violence du Mexique, et la même tolérance vis à vis des Chrétiens et des Juifs que l’Iran. 
    Je suis fatigué du comportement hégémonique des syndicats qui ne représentent pas grand monde mais n’hésitent pas à paralyser tout le pays pour satisfaire des intérêts purement corporatistes, pour beaucoup hors du temps, sans strictement aucun souci du bien de la collectivité. 
    Je suis fatigué d’entendre dire que l’Islam est une religion de paix quand à longueur d’année on m’apprend les meurtres perpétrés pour « l’honneur familial », les égorgements publics, les émeutes déclenchées sous le moindre prétexte, les attentats meurtriers perpétrés là où le maximum d’innocents peut être tué. 
    Je suis fatigué que dans les mosquées installées chez nous on prêche la guerre sainte ordonnée par Allah, guerre qui aura l’avantage de sauver l’âme du Juif ou du Chrétien, assassiné parce qu’il ne « croit pas », en même temps qu’elle sauvera celle de son assassin ; pourquoi se priver dans ces conditions. 
    Je suis fatigué que l’on tolère la transformation insidieuse de ma civilisation sous les coups d’une autre qui ne la vaut pas ; fatigué d’entendre des socialistes (encore eux) envisager l’apprentissage de l’Arabe aux professeurs des écoles pour faciliter les contacts avec les enfants de l’immigration qui ne trouvent pas notre société à leur goût et en refusent même l’histoire. Fatigué de voir que l’apprentissage du Français, qui est la langue donc le ciment de la nation depuis François 1 er , devient une exigence secondaire que l’immigrant n’a plus le devoir d’apprendre devenant non plus un immigrant mais un colonisateur. 
    Je suis fatigué que l’on me prône les vertus de la diversité alors qu’elle dissout la nation, et qu’en son nom on en arrive à ériger en système la discrimination positive qui fait que le particularisme racial, religieux ou social suffit à compenser les insuffisances individuelles, créant ainsi une injustice vis à vis des individus « ordinaires ». 
    Je suis fatigué que notre tolérance vis à vis des autres cultures nous amène à considérer comme normal que l’Arabie Saoudite finance chez nous des mosquées, où l’on prêche la haine de l’Occident, avec les subsides qu’elle tire du pétrole que NOUS Occidentaux avons découvert et mis en exploitation, et que NOUS lui achetons, alors qu’elle proscrit sur son sol la construction d’églises et synagogues. 
    Je suis fatigué d’entendre à longueur de temps que je dois diminuer mes émissions de CO2 parce que c’est « bon pour la planète », alors que la Chine inaugure deux à trois centrales thermiques par semaine.
    Je suis fatigué de m’entendre dire que notre tradition d’asile nous oblige à accepter tous les miséreux de la planète et à payer pour eux, même quand ils sont clandestins ou n’ont jamais travaillé ni cotisé un centime chez nous ; et je suis encore plus fatigué de constater que nos personnages politiques, de droite comme de gauche, trouvent apparemment ça très bien puisqu’ils ne font rien pour y remédier quand ils sont au pouvoir, ou approuvent quand ils sont dans l’opposition.
    Je suis fatigué d’entendre tous ces gauchistes, pas tous extrêmes, ces affidés de tous les « SOS racismes » que ne concerne pas le racisme anti blanc, tous ces journalistes angéliques, pratiquer la culture systématique de l’excuse pour tout comportement anti social, anti national, anti Chrétien ou anti Juif, souvent très violent, et réclamer toujours plus de traitement social des conditions de vie de la canaille, en oubliant que s’ils sont chez nous c’est que leur sort leur paraissait meilleur que chez eux où ils se garderaient bien de retourner, et où ils n’oseraient pas brûler les voitures par centaines chaque année de crainte de représailles du même niveau que leur démence, que nous, nous subissons et tolérons. 
    Je suis fatigué de tous ces discours qui cherchent à me convaincre que mon pays n’a jamais rien fait de bien dans le passé, qu’il doit s’excuser de tout, de l’esclavage, du colonialisme, des guerres napoléoniennes, de son passé judéo-chrétien, des croisades (en oubliant que l’Islam conquérant les avait devancées de quatre siècles). 
    Je suis fatigué des Français je crois ; prétentieux, hâbleurs, naïfs mais donneurs de leçons, égoïstes, assez lâches et finalement pas sérieux. 
    En revanche je suis heureux d’avoir 62 ans, des enfants et petits enfants magnifiques. 
    Je ne verrai pas le monde que nous préparons consciencieusement par veulerie. Mais je plains sincèrement mes descendants. 
    Note : l’idée de ce texte, dans sa forme, m’a été donnée par un texte d’un Américain, Robert A. Hall, qui est semble t-il dans un état d’âme comparable au mien vis à vis de son pays. 
    Merci d'y penser !

     

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  • L'île de Ré ! C'est fini pour cette année…

     

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    L'île de Ré ! C'est fini pour cette année…
    15 jours face à l’océan, c'était vraiment bien mais voilà tout a une fin !
    Entre farniente et balades, ce fut un séjour très agréable ... Rires, apéros, fruits de mer, plages et baignade, shopping... L'emploi du temps fut chargé en occupations délicieuses et typiquement vacancières.

     

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  • Une vérité qui va déranger.

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    Une vérité qui va déranger
    A l'heure où nous voyons en boucle sur toutes les chaines de TV l'appel de l'Unicef, je rappelle à tous que les pays de l'Afrique concernés sont majoritairement musulmans mais que tous ces frères sont en guerre fratricide et chassent leurs frères, les laissent mourir de faim sans état d'âme. Que font les pays voisins...musulmans de surcroit ? RIEN et le Croissant Rouge (équivalent de notre Croix Rouge)..Rien.
    Mais c'est à nous de donner...il manque 1 (si ce n'est 2 ou 3) milliard d'euros... Peut-être qu'au lieu de construire des hôtels de luxe, d'acheter des 4/4 ou de faire des patinoires dans le désert il faudrait que chaque Emirat ou autre pays ouvre son porte monnaie au lieu de demander à la classe moyenne de partout dans le monde d'ouvrir le leur...
    Et si chaque musulman d'Europe et d'ailleurs donnaient un euro pour l'Afrique, voilà un geste qui les conduirait certainement au Paradis !
    Voilà des décennies, si ce n’est plus, que ces pays sont dans la misère et régulièrement on nous matraque avec des images terribles de populations qui sont appelées à disparaitre !!!!!!!!!!! femmes, enfants sont mis en avant afin de nous culpabiliser un peu plus et ceci dans le but de nous soutirer de l’argent. Femmes musulmanes qui avec leur croyance font plein enfants alors qu’elles savent pertinemment qu’elles ne pourront les nourrir !!!!!!!
    Peu d’hommes dans ces reportages...pourquoi alors que ces géniteurs engrossent leur harem et des gamines à peine pubère, ne sont-ils pas conscients et responsables de leur folie ?
    2000 ans de retard et une religion aveugle font de ces peuples des condamnés pour l’éternité……………
    Croyez-vous encore que c’est de notre faute et que nous devrions nous sentir responsables de tant de misères ????
    Lorsque que dans un pays il y a plus de balles de fusil, que de grains de riz nul ne saura jamais rien changer malgré toute la bonne volonté et tout l’argent du monde !!!
    Triste mais hélas bien réel.
    Bonne journée à Tous et MEDITEZ bien!

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