MOI - ICH
Bienvenue dans mon nouveau chez moi !
Il m'aura fallu le temps de me décider, le temps de retrouver l'envie (un peu aussi...) d'écrire, de raconter, le temps de prendre le temps...
Voilà donc ce blog que j'aurais du commencer il y a presque deux ans alors que je quittais la France pour m'installer en Allemagne.
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Ce n'est donc pas...
... un blog politique, mon avis, ce que je pense, ce que je crois, mon opinion.
Mais c'est...
...ce que je vois, ce qu'on me demande, ce qui me pose problème, ce dont je me souviens.
Donc,
les aimables visiteurs peuvent attaquer les faits mais pas la personne, les idées mais pas l'homme, les fautes d'orthographes mais pas mon clavier....
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La normalité.
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
Si tu as grandi en mangeant la popote de maman ; faisais du vélo sans casque ; te prenais une baffe si tu répondais mal ; avais une télévision avec deux chaines uniquement et que tu savais te lever pour les changer ; rembobinais les cassettes avec un stylo ; sortais avec 5 francs en poche ou moins et que tu ramenais encore de la monnaie ; jouais dans la rue ; mettais les fringues de tes frères et sœurs ; respectais tes professeurs et que tu avais même de l'affection pour certains ce qui fait que finalement tu es sorti " NORMAL ".
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Pédophilie bénie par Allah
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
Les personnes bien pensantes des Droits des Enfants devraient allez faire leurs beaux discours dans ces pays là, à la place de venir faire la morale aux peuples qui ne pratiquent pas ces ignominies. Bien sur, il y a des pédophiles dans tous les pays, mais quand ici, on tient un pédophile, il passe en jugement et est punissable de par la loi.
Un mariage musulman massif: 450 fiancés se marient avec des petites filles âgées de moins de dix ans à Gaza.
Por Paul L. Williams, Ph.D.
thelastcrusade.org <http://thelastcrusade.org/> <http://thelastcrusade.org/>
Mahomet s'est marié avec une petite fille de six ans. Mais l'Islam a évolué depuis 1 500 ans. Dans la terre de Hamas, en 2009, les fiancées ont presque sept ans. Un évènement de gala s'est déroulé à Gaza: le Hamas a sponsorisé un mariage massif de quatre cent cinquante couples. La majorité des fiancés avaient dans les vingt ans; la majorité des fiancées avaient moins de dix ans. Des dignitaires musulmans, en incluant Mahmud Zahar, un leader de Hamas, étaient présents pour féliciter les couples qui ont participé à la célébration, soigneusement montée. "Nous disons au monde et aux États-Unis qu'ils ne peuvent pas nous refuser le bonheur ", a dit Zahar aux fiancés, lesquels étaient habillés dans des vêtements noirs tous identiques, qui provenaient du camp de réfugiés proche de Jabalia. Chaque fiancé a reçu de Hamas un cadeau de 500 dollars. Les pré-pubères petites filles, habillées de blanc et ornées de criards maquillages, ont reçu des bouquets de mariées.
"Nous présentons ce mariage comme un cadeau à notre peuple qui est resté ferme faisant face à l’occupation et à la guerre", a dit dans son discours l’homme fort de Hamas, Ibrahim Salaf. Les photos du mariage racontent le reste de la sordide histoire. Le Centre International de la Recherche sur les Femmes estime que, actuellement, il y a 51 millions de petites filles nouvellement mariées qui vivent sur la planète terre et presque toutes dans des pays musulmans. 29% de ces petites filles nouvellement mariées sont régulièrement frappés et trompées par leurs époux en Égypte; 26% subissent un abus similaire en Jordanie.
Chaque année, comme confirmé par l’UNICEF, trois millions de petites filles musulmanes font l’objet d’une mutilation génitale. Cette pratique n’est pas illégale dans beaucoup d’endroits et aux États-Unis. La pratique islamique de la pédophilie provient du prophète Mahomet, qui a accumulé onze épouses et beaucoup de concubines. Après la mort de sa première épouse Khadijah, en 619, il a organisé les visites aux maisons de ses femmes suivant leurs cycles menstruels. Sa capacité pour l'activité sexuelle semblait ne pas avoir de frontières. Sahih Bukhari, un des plus éminents textes islamiques, dit : "Le Prophète avait l'habitude de visiter ses épouses de manière cyclique, durant le jour et la nuit, et elles étaient onze. J’ai demandé à Anas: " Le Prophète avait-il la force pour cela ? "Anas a répondu, " Nous avions l'habitude de dire que le Prophète avait la résistance sexuelle de trente hommes Au milieu de ces délices, le Prophète possédait une étable de concubines, en incluant Reihana, sa 'Juive' captive. Ses épouses et maîtresses étaient obligées, par la loi musulmane, de satisfaire ses besoins sexuels à n'importe quel moment du jour ou de la nuit, et le Prophète se réservait le droit de profiter d'elles "du sommet de la tête à la plante des pieds". Ceci ne semblait pas être terrible pour les étudiants du Rapport Kinsley, avec l’exception du cas d'Aisha, l'épouse favorite de Mahomet. Aisha était la fille d'Abu Bakr, le meilleur ami du Prophète et son plus fidèle adepte. Dès que Mahomet à posé ses yeux sur Aisha, il a commencé à fantasmer pour avoir un rapport sexuel avec elle. Il y avait un problème avec ce fantasme; Aisha à cette époque, était une petite fille de quatre ou cinq ans, tandis que Mahomet était homme d'âge moyen, la cinquantaine. Malgré ça, le Prophète n'a pas perdu de temps pour réaliser son fantasme. Quand Aisha eut ses six ans, Mahomet demande à Abu Bakr la main de sa fille en mariage. Abu Bakr a pensé que cette union serait impropre - non parce qu'Aisha était simplement une petite fille, mais plutôt parce qu'il se considérait comme frère de Mahomet. Le Prophète a rapidement écarté cette objection en disant que l'union était parfaitement correcte aux yeux d'Allah. Abu Bakr a consenti. Et Mahomet pris la petite fille comme sa nouvelle épouse. Quand ils furent mariés, Mahomet, dans sa miséricorde, permis qu'Aisha apportât ses jouets, en incluant ses poupées, dans sa nouvelle maison.
Le mariage a été consommé quand Aisha a eu neuf ans et le Prophète cinquante-trois
Les trois ans de la période d'attente n'ont pas découlé de la préoccupation de Mahomet de ne pas abuser d'une petite fille mais, plutôt, du fait qu’ Aisha avait contracté une maladie qui avait provoqué la perte de ses cheveux
La pédophilie n'a pas été seulement pratiquée par Mahomet, mais aussi mentionnée dans le Coran.
Dans le débat sur la période d'attente requise, pour déterminer si une épouse est enceinte avant le divorce, le texte sacré dit: "Si tu as des doutes concernant tes épouses qui ont cessé d'avoir les règles, sache que la période d'attente doit être de trois mois. La même période s'applique pour celles qui n’ont pas encore eu les règles"(65:4). Ceux qui pensent que les musulmans modernes ont abandonné cet enseignement, devraient étudier les photos et les vidéos qui accompagnent cet article et rappeler les mots de l'Ayatollah Khomeini, l'ecclésiastique islamique le plus fameux du siècle.
Un homme peut avoir du plaisir sexuel avec une petite fille aussi jeune qu'un bébé. Cependant, il ne doit pas la pénétrer; sodomiser une petite fille c’est bien. Si un homme pénètre et abîme une petite fille, alors il devient responsable de sa subsistance toute sa vie. Cependant, cette petite fille ne compte pas comme une de ses quatre épouses permanentes. L'homme n'aura pas le droit de se marier avec la sœur de la petite fille… C’est mieux pour une petite fille de se marier dans la période pendant laquelle elle aura ses premières règles dans la maison de son époux, plutôt que dans la maison de son père. Un père qui marie sa fille aussi jeune, aura une place permanente dans le ciel. -
Vision d'espoir.
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
Hier n’est qu’un rêve,
Demain n’est qu’une vision ;
Mais un aujourd’hui bien vécu
Fait de chaque hier un rêve de bonheur,
Et de chaque demain une vision d’espoir.
Fais donc grand cas d’aujourd’hui. -
Simples règles
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
Le devoir sans amour nous rend acharné
La responsabilité sans amour nous rend impitoyable
La justice sans amour nous rend dur
La vérité sans amour nous rend critique
L’intelligence sans amour nous rend rusé
La gentillesse sans amour nous rend hypocrite
L’ordre sans amour donne un esprit étroit
L’honneur sans amour nous rend orgueilleux
La possession sans amour nous rend avare
La foi sans amour nous rend fanatique
La vie sans amour est sans valeur. -
La vie
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
La vie c’est :
Apprendre à aimer, à souffrir,
à donner à partager et à pardonner,
à rire ou simplement, à pleurer.
C’est tout ce que nous réserve la vie,
et ce qui nous attend dès notre premier cri. -
"ceux qui «çont», parce qu’il y a des cédilles".
- Par LESTEL Christian
- Le 13/12/2011
"ceux qui «çont», parce qu’il y a des cédilles".
Ceux qui volontaires
Ceux qui d'office
Ceux qui font campagne simple aux TOE en attendant que ça se passe
Ceux traquent
Ceux qui détraquent
Ceux qui half-trackent
Ceux qui pitonnent
Ceux qui bétonnent
Ceux qui déconnent
Ceux qui plutonnent
Ceux qui ouvrent la route et qui ont juste le droit de la fermer
Ceux qui l'ancre au béret
Ceux qui l'encre au stylo
Ceux qui donnent des ordres
Ceux qui les transmettent en les améliorant
Ceux qui se demandent comment les exécuter
Ceux qui disent qu'on est commandé par des cons sans se rendre compte qu'ils pourraient faire partie du haut-commandement
Ceux qui cravate verte
Ceux qui cravate noire
Ceux qui aimeraient bien en avoir une de la couleur de leur burnous
Ceux qui n'ont pas besoin de couleur pour leur cravate
Ceux qui prennent des armes à l'ennemi
Ceux qui font plutôt des prises d'armes entre amis
Ceux qui au régiment
Ceux qui à la division
Ceux qui au corps d'armée
Ceux qui à l'assaut et qui n'ont rien parce qu'ils se retrouvent tout seuls
Ceux qui meurent en héros modestes
Ceux qui ne sont ni héros, ni modestes, mais qui ne meurent pas
Ceux qui "Parapluie... on"
Ceux qui "En avant vous autres"
Ceux qui tirent sur tout ce qu'ils voient
Ceux qui surtout tirent avant de voir
Ceux qui ont compris et qui se couchent en voyant arriver la Marine
Ceux qui se planquent même où la Marine ne vient pas
Ceux qui chinoise
Ceux qui cambodgienne
Ceux qui vietnamienne
Ceux qui vénérienne
Ceux qui plieuse de parachute pour avoir la solde à l'air
Ceux qui se contentent d'amours masculines ancillaires
Tous ceux-là et beaucoup d'autres encore qui n'osaient plus comme autrefois crier "MORT AUX CONS" de peur de se retrouver tous sur les diguettes de la vie éternelle, avaient tout de même fini par se mettre d'accord et par retrouver le sourire et un air indulgent en contemplant de grands diables tout noirs avec des dents très blanches encadrés de Capitaines ventrus doublement hameçonnés et la devise de tous à ce spectacle était désormais : "Dans l'béton les plus cons."
Ce qui était faux tout de même car il n'y avait pas de béton assez important pour nécessiter la présence et justifier la solde de certains Officiers Supérieurs.Poème anonyme et virulent, circulant sous le manteau des Lieutenants en Indochine où il connut un immense succès. Il a pour auteur un officier de l’État-major du Colonel Gilles.
Cette virulence bien connue et cultivée avec soin chez les officiers subalternes (plus rarement chez les officiers supérieurs), ne les empêchait nullement de se faire tuer avec panache en grand nombre...
On peut dater ce texte entre la décision que le Général de Lattre eut de ceinturer le delta utile d'une série de fortifications en béton et celle où il "limogea" une importante quantité d'officiers, notamment d'officiers supérieurs et généraux, pour motif d'incompétence professionnelle, ce qui ne s'était jamais vu auparavant. (l'Indochine fut une dévoreuse d'officiers subalternes).
PS : pour ceux qui ne le sauraient pas les grades des officiers subalternes sont : Sous-lieutenant, Lieutenant et Capitaine. -
La toute première fois...
- Par LESTEL Christian
- Le 03/10/2011
Vous êtes mignons, vous ne doutez de rien. Vous vous figurez que je vais, là, comme ça, tout benoîtement, vous raconter ma première fois. Simplement, pour vos beaux yeux et pour votre amusement passager. Et que je vais dire la vérité, en plus ! Pour le même prix. (Mais combien coûte la vérité ? Et quelle vérité coûte combien ?)
Je pense que vous devriez relire Michel Foucault. Je dis « relire », parce que, je l’ai déjà lu, ça va de soi, et on dit qu’on relit. Sinon, on a l’air d’une cloche. Donc, vous devriez relire Foucault, « Histoire de la sexualité, tome 1 » et vous découvririez que vous êtes une tentacule, une ventouse de cette pieuvre de civilisation appelée : la volonté de savoir. Foucault avait tout compris et tout dit sur le sujet. Même s’il n’avait pas encore tout vu. Nous vivons dans la société du renseignement. Vous avez sûrement remarqué : on ne remplit plus un formulaire, on le renseigne. Les gens adorent renseigner n’importe qui sur n’importe quoi. Des centaines de milliers de blogs n’ont d’autre but que de renseigner qui voudra. Je ne suis pas en reste. Toute une école se situe quelque part entre le divan, l’atelier d’écriture et la confidence télé…
Et moi-même, je n’ai pas à faire le malin, puisque j’accepte sur-le-champ et d’enthousiasme l’idée de vous évoquer ma toute première fois, c’est à dire de vous renseigner. Je vais même me jeter dessus. Ce qui démontre que je suis en proie au même vertige narcissique que tout le monde ou à peu près. Ça me rappelle la chanson de Brassens : « Trompettes de la renommée, vous êtes bien mal embouchées… » Il n’empêche : j’accepte. Me voici donc pris au piège. Par moi-même. L’indiscrétion, chacun le sait, n’est pas dans les questions, mais dans les réponses.
Alors, allons-y gaiement !
C’était avec une jeune péripatéticienne, dans un quartier louche de Montpellier des années 70. Il y avait des tas de petits bistros où traînait toute une faune nocturne dont un copain et moi-même (nous avions fait le mur). Ces filles-là n’avaient pas l’air de putes. Elles vous demandaient une cigarette en vous touchant le bras ou le genou, et aussitôt après elles vous disaient : « Tu montes ? ». C’est mon copain qui m’a encouragé. Ça ne coûtait pas beaucoup. Je suis donc monté, la piaule était immonde. Ça a été fait en trois minutes. La fille était jolie et avait de jolis petits seins. Elle n’en dénudait qu’un. La semaine d’après, j’étais à l’infirmerie…
Mais non, c’est des blagues ! En réalité, c’était moins exotique. Ça s’est passé avec une copine d’enfance, on s’était toujours bien entendus depuis tout petits, et puis un jour, à 16 ou 17 ans, on s’est embrassés en lisière d’une forêt qui dominait notre village. Les autres filles me faisaient un peu peur. Elle, elle me rassurait, j’avais confiance. Elle ne savait pas tellement mieux embrasser que moi. Après deux ou trois semaines de patience encore (nous progressions dans les baisers), elle consentit à se dévêtir, non sans être allée, je ne sais ni où ni comment, se procurer le « matériel » indispensable pour éviter une catastrophe. Ce fut timide, tendre, émerveillé, bref : un peu chiant…
Mais non, c’est des blagues ! En fait, c’était une jeune prof de français (j’étais nul en français au lycée), que mes parents, dans mon milieu hyperbourgeois, avaient recrutée parce qu’elle semblait sérieuse avec ses lunettes, ses cheveux tirés, ses longues jupes grises. Sauf que, une fois les lunettes retirées, les cheveux détachés, la jupe grise virée, elle se révélait une démone de luxure et de vice, à un point inimaginable. Ça me dégoutait presque. Mais ça m’instruisait…
Mais non, c’est des blagues ! D’ailleurs, je ne viens pas d’un milieu hyperbourgeois. Ce fut tout bonnement la sœur d’un copain. Il m’invita à passer quelques jours chez lui et il en profita pour s’éclipser me laissant seul avec sa sœur. Je ne sais encore ni pourquoi ni comment, mais dès la première nuit après une promenade très sentimentale, nous partagions le même lit. En une journée, elle s’était éprise de moi, j’étais devenu son jouet. Et puceau jusqu’à la racine des cheveux. Un peu plus expérimentée, elle eut la délicatesse de feindre de ne s’apercevoir de rien (car, en outre, j’avais honte d’une virginité que je traînais, à 18 ans révolus, comme une casserole ; je n’arrivais même plus à donner le change aux copains).
Je précise que l’une des quatre versions qui précédent (pas forcément la plus plausible) est partiellement vraie, quoique sûrement simplifiée (ou compliquée) par la mémoire, c’est-à-dire par l’oubli, comme dirait Borges. Une chose que je découvre avec le temps, c’est que nous ne pouvons absolument pas être sûrs de ce que nous croyons avoir vécu. On n’imagine pas à quel point on reconstruit, on déforme, on censure, on complète ! La vie n’est pas contée par un idiot, ni pleine de bruit et de fureur ; tout ça est très exagéré. Mais elle nous échappe complètement, voilà tout.
Par contre, maintenant, je vais être sérieux et véridique en affirmant que la vraie première fois n’est peut-être pas la première fois. Où alors, qu’il y a des tas de premières fois. Une de mes première fois eut peut-être lieu, en réalité, après avoir vu le film « L’empire des sens ». Je me rappelle avoir vu ce film (jamais revu depuis) avec une jeune amie. Nous sortîmes de là les yeux brillants, rivalisant d’approbation enthousiaste. C’était un aveu. Certes, nous ne mîmes jamais en pratique la scène ultime, qui implique l’usage d’un couteau de cuisine, et qui demande à l’homme une certaine abnégation. Mais nous découvrîmes ensemble des horizons nouveaux et insoupçonnés. Pendant au moins six semaines, nous nous crûmes, elle et moi, de terribles libertins. Nous nous adonnâmes studieusement à toutes les aberrations et toutes les gentilles extravagances que nous n’avions jusqu’alors jamais osé concevoir (ou réclamer). Un soir, je fis rire jusqu’aux larmes un copain à qui je confiais, très sérieusement : « Ce que je voudrais maintenant, avec elle, c’est …. ». Je vous laisse deviner. Mais n’est-ce pas adorable ? Et ce n’est pas des blagues. (Mais est-ce vrai ? Etait-ce bien ainsi ?)
Cela prouve, en tout cas, que des premières fois, il n’y en a pas qu’une. Je puis affirmer qu’il y eut, pour moi, diverses premières fois. C’est peut-être même l’essentiel de ce que j’ai à dire. Le nombre de mes premières fois, si vous voulez une fourchette, se situe quelque part entre une et mille et trois. (Ça vous va ? Vous avez votre compte ?)
Ce qui m’amène à citer à nouveau Brassens : « Elle est la dernière que l’on oubliera, la première fille qu’on a prise dans ses bras. » Et j’aime beaucoup Brassens, mais là, je ne suis pas d’accord du tout avec lui. Je l’affirme solennellement : elles sont toutes la dernière que j’oublierai. Y compris celles avec qui il n’y eut jamais de première fois.