MOI - ICH
Bienvenue dans mon nouveau chez moi !
Il m'aura fallu le temps de me décider, le temps de retrouver l'envie (un peu aussi...) d'écrire, de raconter, le temps de prendre le temps...
Voilà donc ce blog que j'aurais du commencer il y a presque deux ans alors que je quittais la France pour m'installer en Allemagne.
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Ce n'est donc pas...
... un blog politique, mon avis, ce que je pense, ce que je crois, mon opinion.
Mais c'est...
...ce que je vois, ce qu'on me demande, ce qui me pose problème, ce dont je me souviens.
Donc,
les aimables visiteurs peuvent attaquer les faits mais pas la personne, les idées mais pas l'homme, les fautes d'orthographes mais pas mon clavier....
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Citations
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !"
"Mon Dieu, donnez-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne peux changer, le courage de changer les choses que je peux, et la sagesse d'en connaître la différence."
"L’expérience et l’histoire nous enseignent que les peuples et gouvernements n’ont jamais rien appris de l’histoire, qu’ils n’ont jamais agi suivant les maximes qu’on aurait pu en tirer."
(Georg Wilhelm Friedrich Hegel)Les politiciens sont les mêmes partout. Ils promettent de construire un pont même là où il n'y a pas de fleuve.
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N'aurions-nous pas besoin d'un tel personnage chez nous ?
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
N'aurions-nous pas besoin d'un tel personnage chez nous ?
L'Australie dit NON - Pour la 2ème fois !
Mme Julia Gillard, le premier ministre Australien réitère !
Cette femme devrait être nommée "Reine du monde". Jamais des mots n'ont été aussi justement prononcés !
Il a fallut à cette femme, beaucoup de courage pour dire tout haut ce que les autres pensent tout bas.
Les répercussions pourraient être phénoménales mais au moins, elle n'a pas eu peur de prendre position quant à ses croyances.
LE MONDE A BESOIN D'UN TEL LEADER !
Mme Julia Gillard - Australia
- Les musulmans qui veulent vivre sous la charia islamique ont été prié de quitter l'Australie !
Le gouvernement a ciblé les radicaux dans le but de parer les attaques terroristes potentielles.
Par ailleurs, Mme Gillard a irrité certains musulmans australiens en déclarant mercredi qu'elle soutenait les agences d'espionnage qui surveillent les mosquées présentes sur le sol de la nation.
Citation :
«LES IMMIGRANTS, NON AUSTRALIENS, DOIVENT S'ADAPTER».
« C'est à prendre ou à laisser. Je suis fatiguée que cette nation s'inquiète de savoir si nous offensons certains individus ou leur culture.
Depuis les attaques terroristes à Bali, nous avons connu une poussée de patriotisme chez la majorité des Australiens.
Cette culture s'est développée depuis plus de deux siècles après tant de luttes, d'épreuves et de victoires par des millions d'hommes et de femmes qui ont recherché la liberté. Nous parlons l'anglais et non pas l'espagnol, le libanais, l'arabe, le chinois, le japonais, le russe ou autre langage. Donc, si vous voulez faire partie de notre société, APPRENEZ NOTRE LANGUE !
La plupart des australiens croient en Dieu. Il n'est pas question ici de "droits chrétien" ou une quelconque pression politique, c'est un FAIT parce que les chrétiens hommes et femmes, avec leurs principes Chrétiens ont fondés cette nation et c'est très clairement documenté.
Il est parfaitement approprié de les afficher sur les murs de nos écoles !
Si Dieu vous offense, je vous suggère alors d'envisager une autre partie du monde pour y vivre, car Dieu fait partie de notre culture.
Nous acceptons vos croyances sans vous poser de questions. Tout ce que nous vous demandons, c'est de respecter les nôtres, de vivre pacifiquement et en harmonie avec nous.
Ceci est NOTRE PAYS, NOTRE TERRE, et NOTRE STYLE DE VIE et nous vous donnons l'occasion d'en profiter. Mais à partir du moment ou vous vous mettez à vous plaindre, à gémir et à ronchonner à propos de notre drapeau, notre engagement, nos croyances chrétiennes ou notre style de vie, je vous encourage fortement à profiter d'une autre grande liberté Australienne :
"LE DROIT DE PARTIR "
Si vous n'êtes pas heureux ici et bien partez !
Nous ne vous avons pas forcé à venir !
Vous êtes venus tout seul alors acceptez le pays qui vous a accepté, tel qu'il est !
Peut-être que si nous diffusons ce discours à tous les pays se trouvant dans le même genre de situation avec ses émigrés, nous trouverons le courage de faire entendre nos voix pour exprimer les mêmes vérités ! »
Cette femme mérite son poste. -
Un salaire pour une vie.
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
Un salaire pour une vie.
Gardien de la Paix : 1 600 euros pour risquer sa vie
Pompier professionnel : 1 800 euros pour sauver une vie
Instituteur : 1 900 euros pour préparer à la vie
Médecin : 7 000 euros pour nous maintenir en vie
Sénateur : 19 000 euros pour profiter de la vie
Ministre : 30 000 euros pour nous pourrir la vie !!! -
L'enfance dans les années 50, 60 70 voire 80…
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
L'enfance dans les années 50, 60 70 voire 80…
En regardant en arrière, c'est dur de croire qu'on ait réussi à vivre si longtemps.
Lorsque nous étions enfants, nous nous promenions en auto sans ceinture de sécurité ou d'airbags pour nous protéger.
Nos couchettes étaient peintes de couleurs vibrantes au plomb. Il n'y avait pas de couvercle de sécurité sur les bouteilles de médicaments, ou des serrures sécuritaires sur les armoires. Et lorsque nous partions à bicyclette, on le faisait sans un casque de sécurité. On allait même en ville.
On buvait même de l'eau directement des tuyaux d'arrosages, pas d'une bouteille. Horreur!
On se faisait des petites voitures (boîte à savon) avec des vieux patins à roulettes et des vieilles roues de voiturette et on se laissait aller dans les côtes pour s'apercevoir qu'on avait oublié de mettre des freins. Après être rentrés dans les buissons à quelques reprises, on solutionnait le problème.
On partait de la maison le matin et on revenait souvent au moment où les lampadaires de la rue s'allumaient. Imaginez donc ça, pas de téléphones portables, personne ne pouvait nous joindre de la journée.
On jouait des jeux dangereux et souvent, on se faisait mal, il y avait des accidents, il y avait des coupures et aussi des os cassés, mais personne n'était blâmé.
On se battait entre nous, on avait des bleus, mais on apprenait à passer par-dessus.
On mangeait des gâteaux, du pain et du beurre et nous n'étions pas obèses....il faut dire que nous jouions presque toujours à l'extérieur. On buvait souvent à quatre ou à cinq d'une même bouteille et il n'y a jamais eu de décès à cause de ça.
On n'avait pas de Nintendo 64, de Playstation ou de X Boxe, sans compter les jeux vidéo ou même les 99 canaux à la télévision, les magnétoscopes, les téléphones portables et les ordinateurs personnels, etc.etc...mais nous avions des amis et si nous voulions les voir, tout ce qu'on avait à faire, c'était de sortir et se rendre chez eux, sonner et entrer pour pouvoir leur parler. Imaginez donc ça, sans même demander la permission à nos parents.
Comment faisait-on ça, sans gardiens, dans ce monde cruel ? On inventait des jeux, avec des bâtons et des balles de tennis, on mangeait toute sorte de choses, mais contrairement à ce qu'on nous disait, rarement quelqu'un perdait un œil ou était infecté.
Certains écoliers n'étaient pas aussi futés que les autres et ils manquaient leur année et devaient recommencer une autre fois la même classe. Dégueulasse ! Les examens n'étaient pas ajustés pour compenser quelque soit la raison.
Nos actions étaient les nôtres. Nous en supportions les conséquences. Personne pour nous cacher. L'idée de se faire protéger par nos parents si nous commettions une infraction était impensable. Nos parents étaient du côté de l'autorité, c'est t'y pas effrayant ?
Cette génération a produit les meilleurs preneurs de risque, solutionneurs et inventeurs. Les dernières 50 années ont été une explosion d'innovation et d'idées nouvelles. On avait la liberté, le succès, la responsabilité ainsi que la défaite, le plus important, c'est qu'on a appris à vivre avec tout ça.
Félicitations, car tu es de ceux là. -
JE PEUX....
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
JE PEUX....
Si tu te crois battu, tu le seras.
Si tu n'oses pas, tu n'auras rien.
Si tu veux gagner, mais si tu t'en crois incapable,
Il est presque certain que tu ne gagneras pas.
Si tu crois que tu vas perdre, tu es perdu,
Car, dans le monde, on se rend compte
Que le succès dépend de la confiance en soi
Tout dépend de notre état d'esprit.
Les batailles de la vie ne sont pas gagnées
Par les plus forts, ni les plus rapides,
Mais par ceux qui croient en eux.
En pensant toujours : "JE PEUX" -
Questions d'éthique.
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
Questions d'éthique.
Si vous saviez qu'une femme était enceinte, qu'elle avait déjà 8 enfants dont 3 sourds, 2 aveugles et un mentalement en retard, qu'elle avait la syphilis; lui recommanderiez-vous l'avortement ???
AVANT DE REPONDRE, LISEZ LA QUESTION SUIVANTE...
Voici les élections pour le leader de la planète. Votre vote est très important.Voici un portrait des 3 principaux candidats...Candidat A : Parfois associé à des politiciens véreux, consulte des astrologues, a 2 maitresses. Il fume comme une cheminée et boit de 8 à 10 martinis chaque jour.
Candidat B : Par deux fois été chassé de son emploi. Il dort jusqu' midi tous les jours et boit le quart d'une bouteille de whisky chaque soir.
Candidat C : Héros de guerre décoré, il est végétarien, ne fume pas et ne boit qu'une bière de façon occasionnelle. Il n'a jamais eu de relation extra-maritale.
Lequel de ces candidats aurait votre vote?
Prenez d'abord votre décision, puis allez en bas de la page pour obtenir les réponses...
Et pourtant :
Le candidat A est Franklin D. Roosevelt.
Le candidat B est Winston Churchill.
Le candidat C est Adolph Hitler.
Et si vous aviez répondu "oui" à la question sur l'avortement, vous auriez tué Beethoven.
A méditer! -
L'homme de couleur.
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
L'homme de couleur
Quand je suis né, j'étais noir !
Quand j'ai grandi, j'étais noir !
Quand j'ai peur, je suis noir !
Quand je vais au soleil, je suis noir !
Quand je suis malade, je suis noir !
Tandis que toi, homme blanc,
Quand tu es né, tu étais rose !
Quand tu as grandi, tu es devenu blanc !
Quand tu vas au soleil, tu deviens rouge !
Quand tu as froid, tu deviens bleu !
Quand tu as peur, tu deviens vert !
Quand tu es malade, tu deviens jaune !
Et après tout ça,
Tu oses m'appeler, "Homme de couleur" !!! -
L'amitié est rare.
- Par LESTEL Christian
- Le 14/02/2012
L'amitié est rare
L'amitié est rare, très rare, d'où son aspect précieux et marquant. On arrive à la fin de la vie et on essaie de compter ceux qu'on considère comme de vrais amis, ceux dont la fidélité a été sans failles, ceux qui vous ont aimé tel que vous êtes, sans vous juger ni essayer de vous changer. C'est dans les épreuves, les moments difficiles et parfois décisifs, que l'amitié se révèle et se consolide ou s'absente et tombe dans le commun de l'oubli. L'amitié est ce qui permet de désarmer la cruauté et d'affronter le mal. Elle peut avoir existé, avoir été sincère et forte, et puis se briser d'un seul coup, s'anéantir parce qu'elle aura manqué à l'un de ses principes fondamentaux, la fidélité, c'est-à-dire la constance dans la confiance, cette présence qui ne doit jamais faire défaut.
La trahison, c'est le fait de « manquer à la foi donnée à quelqu'un », c'est une forme d'abandon doublé parfois d'une volonté de nuisance ou d'une participation active ou passive à une opération de malfaisance. On agit contre quelqu'un à qui l'on devait fidélité. Souvent on agit par intérêt, par jalousie ou par vengeance et mesquinerie. Toutes ces notions non seulement sont étrangères à l'amitié, mais sont sa négation absolue. L'évêque anglican Jeremy Taylor (1613-1667) utilise l'expression « adultère d'amitié » pour parler de trahison : « La trahison et la violation d'un secret constituent les adultères d'amitié et dissolvent l'union entre les amis. » Dans ce sens, l'amitié est considérée comme un « mariage entre les âmes ». Quand on convoque le malheur et la convoitise, on révèle sa propre défaite, son incapacité d'avoir de l'amitié.
Or l'amitié est un état de grâce apaisé et apaisant. Il faut du temps pour atteindre cet état où le plaisir vient de la gratuité et de l'absence de quelque intérêt que ce soit. C'est en ce sens que la force d'une amitié peut s'effondrer parce qu'un élément impur s'est introduit dans la relation. Dans la relation amoureuse et sexuelle, la trahison, l'usure, le conflit et la guerre sont de l'ordre du possible. Ils font partie du jeu, sont admis même si l'on n'en parle pas. Quand un amour est trahi et brisé, on a du chagrin et on sombre dans une mélancolie profonde. On souffre du fait qu'on est face à une impossibilité, celle d'inverser le cours des choses. On a le sentiment qu'on ne se relèvera pas de cet échec. Pourtant, le temps fait son travail. Parce que l'amitié est à l'écart de toute satiété et de tout calcul, ces dérapages ne devraient pas arriver et en outre ils ne sont pas prévus. Le fondement même de l'amitié est l'absence de conflit pervers et d'intérêt dissimulé. Quand une amitié est trahie, la blessure est insupportable justement parce qu'elle ne fait pas partie de la conception et la nature de la relation, laquelle est une vertu, pas un arrangement social ou psychologique. Elle est vécue comme une injustice. Elle est incurable. On ne comprend pas et on s'en veut d'avoir donné le bien le plus précieux à quelqu'un qui ne le méritait pas ou qui n'a pas compris le sens ni la gravité de ce don. On s'est trompé et on a trompé. La rupture s'impose parce que l'amitié ne souffre pas de concessions avec le faux, la tiédeur et la perversité.
En amour, on peut solliciter et insister, la consolation existe. Tôt ou tard, l'oubli s'installe et l'émotion retrouve sa jeunesse et ses forces. En amitié, la consolation est illusoire, le deuil un précipice. Un ami, un vrai ne se remplace pas. On vit avec la blessure infinie, on s'entête à vouloir oublier, mais on sait que c'est un exercice vain. Pourquoi ce genre de blessure persiste-t-il dans la mémoire ? C'est le principe de la parole donnée qui n'a pas été respecté. La confiance abusée, cambriolée par la personne à qui on a laissé les clés, c'est l'effarement de découvrir qu'on a longtemps fait fausse route, qu'on a cru les mots dont on n'avait que l'enveloppe, ouvert sa maison intérieure, lieu intime du secret, et voilà que tout cela vole en éclats. La trahison est une forme silencieuse de meurtre. On tue le don et la grâce, puis on se masque. On prend place dans le cœur et l'amour de l'autre, on connaît ses repères et ses faiblesses, puis on en profite pour démolir la maison et fouler aux pieds la confiance.
Comment ne plus souffrir de ces blessures ? Comment choisir ses amis ? Quelle illusion ! Comment savoir, comment prévoir les métamorphoses de l'âme, ses errances, ses revirements ou sa fidélité et son intégrité ? Il n'y a pas de recette.