MOI - ICH

Bienvenue dans mon nouveau chez moi !

Il m'aura fallu le temps de me décider, le temps de retrouver l'envie (un peu aussi...) d'écrire, de raconter, le temps de prendre le temps...

Voilà donc ce blog que j'aurais du commencer il y a presque deux ans alors que je quittais la France pour m'installer en Allemagne.

* * *

Ce n'est donc pas...

... un blog politique, mon avis, ce que je pense, ce que je crois, mon opinion.

Mais c'est...

...ce que je vois, ce qu'on me demande, ce qui me pose problème, ce dont je me souviens.

Donc,

les aimables visiteurs peuvent attaquer les faits mais pas la personne, les idées mais pas l'homme, les fautes d'orthographes mais pas mon clavier....

* * * * *

 * * *

*

  • Chaton...

    chaton

    Chaton et son fantôme ! Le fantôme de l'opère-rat...

    Lire la suite

  • Cerbère.

    cerbère

    Dans la mythologie grecque, Cerbère est le chien à trois têtes gardant l'entrée des Enfers.

    Lire la suite

  • La liberté.

    la chaine

    La liberté consiste à faire tout ce que permet la longueur de la chaîne...

    27 mars 2012

    Lire la suite

  • Citation de PHUNG THI LE LY HAYSLIP.

    tableau

    "Quand nous résistons à notre destin nous souffrons, quand nous l'acceptons, nous sommes heureux. Nous avons tout le temps du monde. Nous avons l'éternité pour refaire les mêmes erreurs. Mais il suffit de corriger une fois notre erreur pour entendre enfin le chant de la raison, qui brisera pour toujours l'enchaînement des vengeances.
    Ecoute-le, il est dans ton cœur. C'est le chant qui s'élève de ton esprit depuis l'instant de ta naissance.
    Si les moines disaient vrai et que rien n'arrive sans cause. Alors le but de la souffrance et de nous rapprocher de Dieu, de nous apprendre à être fort quand nous sommes faibles, à être courageux quand nous avons peur, à être sage quand tout est confusion et à laisser s'enfuir ce que nous ne pouvons retenir. Les seules victoires qui durent se gagnent dans les cœurs et non dans tel ou tel pays".

    Lire la suite

  • Les Lumières ont fini par s’éteindre au Caire.

    le caire

    On oublie souvent que Napoléon BONAPARTE, grand lecteur de ROUSSEAU, était un homme des Lumières. Et on ne risque pas de s’en souvenir longtemps, étant donné que l’Empereur a pratiquement disparu des programmes d’histoire. Bonaparte était un véritable esprit scientifique, curieux de tout, si bien qu’il prend l’habitude, dès la campagne d’Italie, de se faire accompagner de savants.
    En mars 1798, le Directoire commence à s’inquiéter de la popularité de Bonaparte après la campagne victorieuse d’Italie. TALLEYRAND décide alors de l’éloigner en l’envoyant en Égypte, pour couper la route des Indes aux Anglais. L’expédition a aussi une vocation scientifique : une Commission de 151 savants, parmi lesquels MONGE et BERTHOLLET, embarque le 19 mai avec une armée composée de 36000 soldats et 2500 officiers.
    Le 21 juillet, Bonaparte écrase les Mamelouks à la bataille des Pyramides et entre au Caire le 24 juillet. Une semaine plus tard, il s’inspire de l’Institut de France pour créer l’Institut d’Égypte. Sous la présidence de Monge, les savants, chargés d’étudier l’Égypte, s’organisent en plusieurs sections : mathématiques, physique et histoire naturelle, économie politique, littérature et arts. Après l’écrasement de la flotte française par NELSON le 2 août dans la rade d’Aboukir, la campagne militaire tourne à l’échec mais cela n’empêche pas les savants et les ingénieurs de mener à bien leurs travaux. Tout les a intéressés : les antiquités, mais aussi l’architecture, la langue, les structures sociales, l’état sanitaire, le régime des eaux, la musique, l’artisanat, l’industrie, la topographie et même la minéralogie… L’hiver 1798-1799 se passe en explorations diverses, en Basse Egypte et autour du Caire, mais aussi en réalisations pratiques : création d’une imprimerie, qui fonctionnera avec les caractères arabes pris au Vatican lors de la campagne d’Italie, création d’un hôpital, mise en place d’ateliers de mécaniques, le tout nécessaire au bon fonctionnement de l’armée française et de la commission, mais aussi moyen d’introduire de nouvelles techniques au service des Égyptiens. Les savants reviennent d’Égypte en 1802. CHAPTAL, qui est alors ministre de l’intérieur, les invite à publier tout le matériel scientifique de l’expédition: l’Empereur souhaite en faire une Encyclopédie égyptienne. Les premiers volumes paraissent en 1809. Plus tard, captif à Sainte-Hélène, Napoléon se préoccupe de savoir si la publication est terminée. En fait, il meurt en 1821 et l’ouvrage n’est achevé qu’en 1823. Il s’intitule “Description de l’Egypte ou Recueil des observations et recherches qui ont été faites en Egypte pendant l’expédition française“: outre 9 volumes de texte, il comporte 10 volumes de planches: 5 consacrés à l’Antiquité, 2 à l’État moderne et 3 à l’Histoire naturelle, soit un total de 974 planches, réellement magnifiques, dont 74 en couleur, auxquelles il faut ajouter un splendide atlas cartographique.
    Au Caire, situé non loin de la place Tahrir, l’Institut d’Égypte avait survécu au temps. Il a été incendié lors des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre. Le bâtiment actuel, qui abritait quelques 200000 ouvrages, certains rarissimes, a été détruit. Les volumes de l’édition originale de la Description de l’Égypte sont partis en fumée.
    Décidément, après la destruction de la bibliothèque d’Alexandrie, en 642, il ne fait pas bon être une bibliothèque en Égypte. Quant au Printemps arabe, qui fait tant bander les pauvres lecteurs du Nouvel Obs, nous en reparlerons bientôt.

    22 mars 2012

    Lire la suite

  • Une carte

    carte

    Sur cette carte, publiée en 1730 en Allemagne par Gottfried HENSEL, et qui est sans doute l’une des premières cartes linguistiques, les différentes langues européennes sont signalées par la traduction du premier verset du Notre Père.

    21 mars 2012

    Lire la suite

  • la lettre

    lettre

    La lettre qui fait l'image. Magnifique calligramme ! Une belle idée d'écriture...

    Lire la suite

  • Interdit au moins de 18 ans.

    fleur

    Pas facile de parler de ça. 
    C'est caché, c'est tout petit, c'est tabou. 
    Alors forcément, ça passionne, ça tarabuste. On chuchote..... 
    Ce mystère est si grandiose que les plus obscurantistes s'en terrifient et tranchent. Définitivement. A coup de couteau. Barbarie stupide. Cruauté bien humaine. Anéantissement d'une si jolie chose. 
    Ignorons cette immonde bêtise et ouvrons les yeux sur cette merveille : La petite clé de paradis.
    Mignon petit mot venu du grec, évoquant la clé (qui sonne d'ailleurs un peu pareil).
    Petite clé du paradis, c'est aussi le nom de la fille de Myrmidon ( de Myrmex: fourmi), si petite que Zeus dut se transformer en fourmi pour l'honorer. Quel coquin, tout de même ce Zeus !
    Enfin... ouvrir les yeux, c'est une façon de parler, parce que c'est difficile à voir, une petite clé de paradis.
    D'ailleurs, si les petits garçons ne peuvent pas ignorer l'existence de leur anatomie triomphante, les petites filles vivent dans l'ignorance totale de la leur. 
    Ensuite, rien n'est gagné : elles se découvrent par hasard, si toutefois, elles ont cette chance. C'est mieux qu'une aventure. Une quête. Le Saint Graal, à côté, c'est une plaisanterie. Une petite clé de paradis, ça se mérite. Ça se débusque. 
    Et pour ça, il faut naviguer dans le silence et passer outre toutes les hontes qu'on leur fourre dans la tête, aux petites filles. Il est entendu qu'une gamine ne se touche pas. C'est mal. 
    Il est clair aussi que sa sexualité se résume encore bien souvent à la procréation. Son plaisir, l'orgasme, tout ça, ça sent le souffre. Des fioritures gênantes. 
    Une fois plus grande, ses hormones bienfaitrices sont là, heureusement, pour l'aider à passer outre. Mais encore faut-il oser et viser juste. 
    Allez vous y retrouver dans toutes ces draperies nacrées... C'est certes charmant, mais assez indéchiffrable.
    La petite clé de paradis, en plus de jouer à cache-cache, ne sert qu'au plaisir. Double tabou. Comme le plaisir féminin n'est pas vraiment en odeur de sainteté, on reste muet sur la question. Voile pudique. Silences gênés. C'est pourtant un privilège, que les femmes disposent d'un outil destiné à leur seul plaisir. Et quel outil ! 
    Quiconque sait apprivoiser l'objet mystérieux en découvre mille facettes. Mille surprises chatoyantes. Comme la lumière après une pluie d'orage, les variations en sont infinies. Du murmure tenu, un flutiau au fond des bois, à un déferlement brutal et répété, comme une décharge d'arme de guerre... tout est possible. Illimité. 
    Les hommes n'ont pas cette capacité : leur plaisir à eux est limité, fini !
    Celui des femmes ne l'est pas. 
    Nous, la gente masculine en sommes-nous extasiés ou jaloux ? Ou effrayés ? 
    De plus, c'est extrêmement joli, une petite clé de paradis. 
    Regardez : les plantes elles-mêmes ne peuvent pas s'empêcher de le copier.
    Mais au fait, quel est son véritable nom déjà plus ?
    19 mars 2012

    Lire la suite