Pensée...

Rien à dire ou trop à dire se rejoignent parfois en une sorte d'apathie, de paralysie totale. J'hésite entre déballer mon sac ou le garder pour un jour meilleur où j'aurai les idées plus claires. Pour l'instant, contentons-nous de cet aphorisme des années 70 "C'est pas parce qu'on n'a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule". Et allons nous coucher, nous ferons bien.